Alessia Valli est italienne et vit à Paris. Elle a fait ses études universitaires en Angleterre : une Maîtrise en Finance à l'Université de Cambridge et un Master en Droit à la London School of Economics.
Son roman Folles Vies est paru en mai 2019 aux éditions Fauves.
Fille d'un chauffeur de maître qui l'a élevée seul dans des conditions modestes, l'héroïne se fait appeler Audrey car 
elle s'identifie à Audrey Hepburn dans le film "Sabrina". Il souhaite pour elle une existence rangée alors qu'elle aspire à une vie romanesque et dorée.
Suite à une rencontre fortuite, Audrey est admise à 20 ans dans la très sélecte Biotech Society, un club privé d'investisseurs fortunés…
Comment s'inventer une vie quand on veut sortir et s'affranchir de son milieu ? Comment devenir adulte sans renoncer à ses rêves ? "Folles vies" raconte la quête intense d'une jeune femme de notre époque, initiée au monde captivant de la finance à l'ère des biotechs.
Son roman La nostalgie du crépuscule est paru en janvier 2015 aux éditions Michalon et a reçu le Prix Contrepoint 2016.
Il raconte la relation hors normes et subversive entre une étudiante faussement ingénue, en quête de romantisme, et un philosophe milanais, en quête de jouissance, qui a largement plus du triple de son âge. Une passion inéluctable qui va les métamorphoser tous les deux.
Tout commence un dimanche de mars, dans une librairie, où un recueil – Sogni di una Volta - attire l’attention de l’héroïne. Des lettres adressées par l’auteur à ses proches disparus. En lisant ce livre pendant la nuit, elle a immédiatement l’impulsion d’écrire à l’auteur et de signer cette lettre d’un prénom autre que le sien, Cassandre, comme pour marquer le début de sa vie d’adulte.
Elle a l’intuition profonde qu’il va lui répondre et en effet, quelques jours plus tard, son téléphone sonne. Il lui donne rendez-vous dans son appartement de la via Borromei. Lui, Patrizio di Ponte, philosophe à succès, électron libre qui vit dans l’instant présent, auteur d’une œuvre prolifique, poète et photographe à ses heures
Débute alors une relation ambiguë, d’abord légère et marquée par le désir et la fascination.
Patrizio travaille sur une encyclopédie du plaisir et se croit à l’abri des attachements, pense vivre « une complicité sans complexité », une expérience sensuelle éphémère.
Contre toute attente, leur relation évolue peu à peu vers un amour profond et bouleversant, un lien d’autant plus fort qu’il est fragile. Ce lien les oblige à revoir leurs certitudes, affronter leurs plus grandes peurs, et baisser leurs armes.
C’est l’histoire d’un idéal à l’épreuve de la réalité, la rencontre entre deux univers, la force d’une passion étrange et dévorante entre deux héros que rien ne rapproche en apparence, deux personnages attachants, qui malgré leurs maladresses, leurs failles, et leurs contrastes, parviendront à s’aimer.
Nous les suivons dans leurs hésitations, leurs doutes, leurs révélations, leurs discordes, leurs retrouvailles, jusqu’à l’inévitable dénouement…
ISBN : 978-2-84186-770-7 • 2 janvier 2015 • 224 pages
Sur le site de l’éditeur :
http://www.michalon.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=500527
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